Chrystia Freeland Wiki : Biographie de l’ex-ministre des Finances canadienne

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Chrystia Freeland

Réponse rapide : Chrystia Freeland est une femme politique canadienne, journaliste, et l’actuelle vice-première ministre et ministre des Finances. Née le 2 août 1968 à Peace River (Alberta), elle occupe ces fonctions depuis 2019 et 2020, respectivement. Avant de se lancer dans la politique, Mme Freeland était journaliste et a notamment travaillé pour le Financial Times et le Globe and Mail. Elle a été élue pour la première fois députée de Toronto Centre, puis de University-Rosedale, en 2013. Mme Freeland, experte en affaires internationales et en commerce, parle plusieurs langues, dont l’anglais, le français, le russe et l’ukrainien.

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Biographie de Chrystia Freeland

Vie et formation de Chrystia Freeland

Christina Alexandra Freeland, mieux connue sous le nom de Chrystia Freeland, est originaire de Peace River, en Alberta, où elle est née le 2 août 1968, dans une famille qui privilégie l’engagement communautaire et les activités intellectuelles. Sa mère, Halyna Chomiak, d’origine ukrainienne, est née dans un camp de l’armée américaine en Allemagne après la Seconde Guerre mondiale. Chrystia a des ancêtres ukrainiens ; sa famille a immigré au Canada dans les années 1950, ce qui a façonné ses valeurs et son identité, comme l’indique l’arrêté, notamment son engagement en faveur de la justice sociale et des droits de l’homme. Chrystia parlait de son enfance, de l’influence de ses parents sur son éducation. Son père, Donald Freeland, était avocat et agriculteur, et elle a hérité de lui un sens du devoir civique. Élevée dans une famille qui encourageait l’érudition et le service public, elle s’est intéressée très tôt aux questions politiques et économiques.

L’éducation

Chrystia Freeland a un long passé universitaire :

  • T.A. Norris Middle School et Old Scona Academic High School, Edmonton.
  • United World College of the Adriatic, Italie, 1984-1986.
  • Université de Harvard, où elle a étudié l’histoire et la littérature russes.
  • St Antony’s College, Université d’Oxford – Maîtrise en études slaves, 1993

Son parcours éclectique lui a permis de parler plusieurs langues, dont l’ukrainien, l’anglais, le français, le russe et l’italien, ce qui lui permet de naviguer dans un monde de plus en plus globalisé.

Début de vie et carrière

Premières années en politique

La politique pendant la crise du CV

Dans les années 1990, elle a été rédactrice pour le Financial Times et le Washington Post et a couvert les événements en Europe de l’Est. Elle a écrit de nombreux livres sur de nombreux sujets ; son livre de 2000, « Sale of the Century : Russia’s Wild Ride From Communism to Capitalism », illustre son intérêt pour les questions économiques complexes, telles que l’étude du passage turbulent de la Russie du communisme au capitalisme.

Une carrière publique en plein essor

C’est en 2013, après quelques années très fructueuses passées devant des événements médiatiques de type kabuki, que la carrière politique de Chrystia Freeland a vraiment commencé à décoller. Convaincue que le pays a besoin de fonctionnaires, elle accepte de se présenter comme candidate dans la circonscription de Toronto Centre, sous l’étiquette libérale, pour succéder à son prédécesseur. Elle est élue lors de l’élection partielle du 25 novembre, avec un score impressionnant de 49,4 %. Ce succès lui a permis d’occuper une série de postes ministériels :

  • Ministre du Commerce international (2015-2017) : Fortement impliquée dans la négociation de l’Accord économique et commercial global (AECG) entre le Canada et l’Union européenne.
  • Ministre des affaires étrangères (2017-2019) : Tout au long de son mandat de ministre des Affaires étrangères, elle a également géré plusieurs tensions de nature diplomatique, telles que les questions russes et la crise ukrainienne. Elle était considérée comme une négociatrice hors pair ; son style direct a été repris dans les médias internationaux.

L’ascension vers le sommet

Chrystia Freeland a dû faire face à cette situation en tant que dirigeante compétente et déterminée. En 2020, elle a été nommée ministre des finances, devenant ainsi la première femme à occuper ce poste dans l’histoire du Canada. Son ascension rapide au sein du Parti libéral et du gouvernement canadien reflète un effort de réorganisation de la politique économique et sociale. Elle s’est toujours efforcée de soutenir la croissance économique en s’attachant particulièrement à développer les efforts visant à améliorer la vie des communautés.

AnnéePoste
2013Députée de Toronto-Centre
2015-2017Ministre du Commerce international
2017-2019Ministre des affaires étrangères
2020-2024Ministre des finances

En bref : Chrystia Freeland est toujours présente sur la scène politique de son pays en tant que vice-première ministre et poids lourd de la scène internationale. Sa carrière témoigne non seulement de son dévouement au service public, mais aussi de ce à quoi peut ressembler le leadership féminin dans la politique canadienne.

L’ascension de Chrystia Freeland au poste de ministre des finances du Canada : La première femme ministre des finances du Canada

Réalisations et contributions en tant que première femme ministre des finances dans l’histoire du Canada

Elle a prêté serment le 18 août 2020 ; elle est la première femme à occuper ce poste important au sein du gouvernement canadien. Assermentée, Mme Freeland a l’intention de gouverner dans des eaux politiques agitées et sur le plan économique et social ; des coups d’audace au milieu de vents contraires comme jamais auparavant.

L’homme qui gère les comptes du Canada

Lorsque Chrystia Freeland a rejoint le ministère des finances, elle était confrontée à une crise économique provoquée par la pandémie de COVID-19. Gérer les finances avec prudence et efficacité est alors l’essence même de l’urgence. Son approche s’est appuyée sur une série de piliers utiles :

  • Créer des appuis : Elle a orchestré le déploiement rapide de l’aide d’urgence du Canada, un programme de base conçu pour soutenir les travailleurs et les entreprises dans le cadre de l’épidémie de grippe aviaire. Il s’agit de programmes d’aide directe en espèces et de subventions d’urgence destinés à aider les entreprises à se maintenir à flot.
  • Le 19 avril 2021, le premier budget fédéral de Mme Freeland, qui est à la fois ambitieux et coûteux, est assorti d’un programme national de garde d’enfants. Ce programme a été conçu pour rendre le prix des services de garde d’enfants plus abordable pour les familles et pour favoriser la participation des femmes au marché du travail, un sujet qui lui tient particulièrement à cœur. Elle a également insisté sur le fait que, malgré des dépenses record dans le secteur manufacturier en raison de la pandémie, des « ratios budgétaires plus sains » seraient maintenus à long terme.

Les conséquences des plans financiers mis en œuvre sous son mandat

Les résultats des approches adoptées par Mme Freeland dans le cadre de ses fonctions ne se mesurent toutefois pas uniquement à l’aune des indicateurs économiques : ils se reflètent également dans la vie des Canadiens. Voici quelques-uns des faits marquants de son mandat :

  • Une grande économie canadienne : Une série de manœuvres calculées a élargi la réouverture mécanique de l’économie canadienne après la pandémie, conduisant à des taux de croissance qui ont dépassé les prévisions dans les premiers mois suivant l’endiguement. Les chiffres reflètent une reprise qui a aidé les petites entreprises et la classe moyenne.
  • Soutien à l’égalité des sexes : La plus grande réalisation de Mme Freeland en matière de promotion de l’égalité des sexes au Canada est peut-être l’inclusion du programme de garde d’enfants dans le budget, une première étape dans la lutte contre l’inégalité croissante entre les sexes à laquelle nous sommes confrontés. D’autres recherches indiquent que des services de garde d’enfants abordables ont permis aux mères de retourner au travail plus tôt – et en toute sécurité.
  • Utilisation novatrice des technologies : Elle a fait l’éloge de la numérisation du système fiscal en vue d’améliorer la transparence et l’efficacité de l’administration. Cela a permis à de nombreux Canadiens d’obtenir des paiements d’aide plus rapidement, tout en réduisant le fardeau des bureaucrates qui gèrent les programmes.
IndicateurAvantAprès
Taux de croissance1,2 %4,5 %
Taux de chômage10 %7,5 %
Budget pour la garde d’enfantsN/A8 milliards CAD

Mme Freeland a également utilisé sa position pour créer des changements spectaculaires nécessaires à une transition verte : elle a enfin investi dans des installations pour nos enfants afin de préparer le Canada à un avenir qui ne dépend pas des combustibles fossiles. Cela a non seulement permis de soutenir l’économie, mais aussi d’ouvrir le débat national sur la durabilité et l’écologie, dans l’optique de faire du Canada un leader en matière d’atténuation du changement climatique.

En bref, Chrystia Freeland a rendu John Manley fier – aussi fier qu’on puisse l’être d’un John Manley – en rééquilibrant l’économie canadienne pour le mieux lorsque des éloges en faveur des entreprises – des éloges qui ne sont ni de la rhétorique ni uniquement de la rhétorique – étaient nécessaires. Sa vision du Canada et du service public reste un élément essentiel du paysage économique du Canada. En fait, grâce à son leadership, elle s’est imposée non seulement comme une économiste, mais aussi comme un monument moderne de la politique canadienne.

Politique et idées

Chrystia Freeland, actuelle vice-première ministre et ancienne ministre des finances, est connue pour ses positions fortes et ses approches imaginatives. Arson a grandi et a vu sa carrière définie par des prises de décision de haute voltige qui ont façonné non seulement l’économie nationale, mais aussi la scène mondiale. Elle a fait preuve d’un engagement inébranlable en faveur de valeurs progressistes qui ne se résument pas à des signes monétaires, s’efforçant d’harmoniser la prospérité et la justice.

Notre économie :

Chrystia Freeland se concentre sur plusieurs aspects lorsqu’elle parle de l’économie, qui est sa vision emblématique :

  • Le soutien à la classe moyenne et aux petites entreprises : Mme Freeland a toujours réaffirmé l’importance de l’activation de l’économie pour la classe moyenne, notamment lors de la présentation de son premier budget, où cette priorité a été soulignée. Elle a pris des mesures pour alléger le fardeau fiscal des familles et a insisté sur l’aide aux petites entreprises dans un environnement largement perçu comme hostile depuis la pandémie.
  • Questions environnementales : Mme Freeland a annoncé des initiatives visant à mettre en place une économie verte. Son gouvernement a également réalisé d’importants investissements dans les infrastructures vertes nécessaires à la transition énergétique, et ce dans le respect des obligations internationales du Canada en matière d’environnement.
  • Des entreprises proactives et ciblées : La conclusion d’accords commerciaux est cruciale pour les échanges commerciaux mondiaux. Mme Freeland a joué un rôle déterminant dans la renégociation de l’ALENA, qui a débouché sur le nouvel accord États-Unis-Mexique-Canada (UMC) ; cet accord a non seulement permis au Canada d’accéder aux marchés américain et mexicain, mais il a également inclus des normes en matière de développement durable et de droits des travailleurs.

Indicateurs économiques avant/après Freeland

IndicatorAvant FreelandAprès Freeland
Taux de chômage10 %7,5 %
Croissance du PIB1,2 %4,5 %
Budget pour la classe moyenneN/A8 milliards CAD

Engagement social/politique

Indépendamment des questions économiques, Freeland a également mis l’accent sur les questions sociales et politiques, en abordant avec confiance les thèmes de la justice sociale et des droits de l’homme :

  • La lutte pour l’égalité des sexes : La lutte pour l’égalité entre les hommes et les femmes est un objectif essentiel de l’activisme politique de Chrystia Freeland. En incluant le programme national de garde d’enfants dans son budget, elle a revendiqué la promotion des femmes sur le marché du travail, une question fondamentale pour l’égalité des chances.
  • Les positions en matière de droits de l’homme : Mme Freeland se passionne pour les questions délicates qui se posent à l’étranger et n’hésite pas à fustiger les régimes qu’elle juge répressifs. Son insistance sur la liberté des militants des droits de l’homme emprisonnés en Arabie saoudite a eu des conséquences diplomatiques et a démontré une volonté de défendre les lois de l’humanité – au prix de la sécurité du Canada.
  • Soutien à l’Ukraine : Mme Freeland a parlé avec sincérité de la nécessité de soutenir les Ukrainiens, compte tenu des origines de sa famille. Lorsque la Russie a envahi l’Ukraine en 2022, elle a été l’une des premières à faire pression en faveur de sanctions économiques contre la Russie et a entretenu des contacts quasi quotidiens avec le Premier ministre ukrainien, qui s’est montré très favorable aux mesures prises par le Canada pour venir en aide à l’Ukraine.

Dans ses discours et ses politiques, Mme Freeland aborde également la question urgente du racisme systémique et de l’inclusion : Elle a signé la Déclaration du cœur d’Uluru, s’engageant à mieux inclure les peuples aborigènes dans les institutions politiques australiennes, reconnaissant les injustices commises à leur encontre dans le passé et s’engageant à plaider en faveur de la réconciliation.

En jonglant avec sa vision économique et sa vigilance sociale, Mme Freeland se positionne comme un acteur important de la scène politique canadienne. Son engagement en faveur des droits civils et sa capacité à négocier des accords stratégiques sont autant d’exemples d’un équilibre entre le hard et le soft power dans la construction d’un Canada économiquement fort, mais aussi juste et inclusif. Dans un domaine souvent perçu sous l’angle de l’opposition et de la discorde, elle se considère comme un modèle réconfortant pour les générations de femmes qui aspirent à exercer des fonctions politiques.

Rétrospective de la carrière de Chrystia Freeland

Chrystia Freeland s’est forgé une réputation de personnalité politique influente et respectée, en occupant le poste de ministre des finances du Canada à un moment difficile de l’histoire de son pays. Le temps qu’elle a passé à superviser la politique économique et sa croyance, née dans le nord-est du pays, en des valeurs sociales progressistes et existentielles, pour ainsi dire, méritent d’être pris en considération de manière très réfléchie.

Son parcours en tant que ministre des finances

Mme Freeland a été nommée ministre des finances le 18 août 2020 et est entrée dans l’histoire en devenant la première femme à occuper ce poste au Canada. En revanche, son mandat a été marqué par la lutte contre les conséquences économiques de la pandémie de grippe A (COVID-19). Voici quelques-unes de ses réalisations les plus marquantes :

  • Une réponse rapide à la pandémie : À son entrée en fonction, Mme Freeland a hérité d’une crise immédiate, celle de la santé. Elle a adopté des mesures d’aide d’urgence qui se sont étendues aux entreprises et aux travailleurs de tout le pays. L’un des principaux programmes qui a permis de compenser la perte de revenus de millions de Canadiens est le programme « Calculez votre soutien ».
  • Un budget de relance intégré : Mme Freeland a proposé un investissement de 8 milliards de dollars canadiens dans un programme national de garde d’enfants dans son premier budget fédéral présenté le 19 avril 2021. Ce budget visait à stimuler la reprise économique tout en s’attaquant à l’inégalité entre les hommes et les femmes, une question qui lui tient à cœur. Mme Freeland a également vanté à plusieurs reprises le rôle des femmes dans la main-d’œuvre comme étant essentiel à la santé économique globale du pays.
  • Construire une éthique environnementale : Mme Freeland a également intégré certains principes de durabilité dans ses politiques. Mais elle a également commencé à planter les graines d’une transition vers une économie plus verte en appelant à investir dans des infrastructures plus écologiques.

Mesures financières

Avant Freeland (2019)Après Freeland (2021-2023)
Taux de chômage10 %
Croissance du PIB1,2 %
Cadre pour la garde d’enfantsN/A

Pourtant, alors que Mme Freeland accomplit ces réalisations, de nombreux défis l’attendent en tant que ministre des finances. Son mandat s’achève brutalement le 16 décembre 2024, lorsqu’elle révèle qu’elle démissionne, sur fond d’affrontements concernant l’orientation économique du pays, notamment le déficit budgétaire croissant.

Héritage politique et influence

Chrystia Freeland laissera dans les mémoires un héritage politique notable. Elle s’est révélée habile à gérer des situations compliquées, tant dans son pays qu’à l’étranger. Lindsay Small – « Son héritage vit dans ses propres choix et ses projets :

  • Un modèle de féminisme : Mme Freeland a été une figure du féminisme dans la politique canadienne et parmi un certain nombre de personnalités féminines dans le monde. Son expérience est un rappel vivant de la nécessité de voir les femmes reflétées dans la politique. Son leadership a ouvert la voie à d’autres, des femmes leaders, des leaders qui favorisent la collaboration plutôt que la division, la compassion plutôt que la haine.
  • Lesinitiatives sociales durables : réformes des services de garde d’enfants et financement d’infrastructures vertes sont là pour durer. C’est un climat dans lequel l’accès et l’équité sont en première ligne dans les affaires économiques.
  • Relations internationales : Outre ses efforts pour obtenir un soutien économique, Mme Freeland est une figure de proue des relations extérieures du Canada et a adopté une position ferme à l’égard de la Russie et de l’Ukraine en particulier. Sa persévérance dans la lutte pour les droits de l’homme reste une source d’inspiration dans le contexte politique actuel, et elle est une personnalité de premier plan sur la scène internationale.

L’héritage de la ministre des finances et vice-première ministre Chrystia Freeland ne sera pas seulement jugé à l’aune de ses succès et de ses échecs. Elle a été une fervente défenseuse de la justice sociale, des droits économiques et de l’action gouvernementale responsable face aux crises mondiales. Son extraordinaire carrière et ses innombrables contributions seront une source d’inspiration pour des générations de futurs dirigeants, dans son pays et à l’étranger. C’est une influence dont j’entends la voix dans de nombreuses années de débats politiques à venir.

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